Lemari, la femme et l'amant Théâtre de l'Ouest Parisien 1, place de Bernard Palissy 92100 Boulogne Billancourt. Métro : Boulogne - Pont de Saint-Cloud (ligne 10, sortie avenue Jean-Baptiste Clément) Bus : arrêt Eglise de Boulogne (ligne 123), Rhin et Danube (lignes 52, 72, 126, 160, 175, 467) Voiture : Depuis Paris : Porte de Saint-Cloud RN 307, route de la Seine, Rond
Culture "Le Prix Martin" de Labiche sous le regard d'un metteur en scène allemand, Peter Stein une heureuse rencontre. Laurent Stocker et Jacques Weber sur la scène de l'Odéon dans "Le Prix Martin". © Pascal Victor. Évacuons d'emblée les choses chagrines. D'abord, quelle étrange idée de programmer un entracte aux deux tiers du Prix Martin de Labiche, une pièce en trois actes, donc d'une longueur qui ne justifie en rien une interruption ? Le théâtre de l'Odéon doit être exagérément fier de son foyer et de son service de boissons... Certes, les cariatides à la blancheur d'albâtre, qui ont été dégagées lors de la restauration des halls, sont magnifiques. Mais, pour les voir, il faut lever la tête dans le foyer, puisqu'elles sont tout à fait en hauteur. Surtout, un spectacle assez court, qui fonctionne sur le rythme de la comédie, se met à durer deux heures et demie, entracte compris ! Beaucoup trop. Ensuite, le théâtre de l'Odéon n'a pas à être fier de son service de documentation. La pièce a été co-écrite par Labiche et Émile Augier. Ce brave Augier - auteur du Gendre de M. Poirier et académicien adulé en son temps - n'est pas oublié, mais c'est indiqué de façon si discrète - presque de manière invisible - dans le programme qu'on en est triste pour lui ; c'était le moment de rappeler le rôle du second couteau dans la rédaction en duo d'un vaudeville - genre qu'on écrivait alors joyeusement, à plusieurs, comme le font aujourd'hui les scénaristes de films comiques. Un vaudeville à rebrousse-poil Cela étant, on passe une très bonne soirée à l'Odéon. D'abord parce que la pièce est très savoureuse, avec sa façon de changer l'image gaillarde de l'adultère. M. Martin ne peut pas se passer de son meilleur ami, Agénor, qui vient jouer régulièrement au bésigue. Cet ami est aussi l'amant de sa femme. Mais, puisque M. Martin ne le sait pas, tout est bien. Hélas, il finit par l'apprendre et il échafaude tout un plan pour punir l'infâme, s'inspirant d'un fait divers au cours duquel un Britannique en voyage dans les Alpes avait poussé son rival dans une cascade aux eaux écumantes ! Il emmène sa femme, son ami et quelques autres personnes en Suisse pour perpétrer le même crime. C'est du moins ce qu'il confie à un proche, mais notre bourgeois a peur de tout et ne nourrit pas une haine ineffaçable pour l'ami qui le cocufie. Quant à Agénor, il est fatigué de sa vie secrète avec la jeune femme et préfère les parties de cartes avec M. Martin. Après bien des péripéties, les deux hommes reprendront leurs habitudes à Paris - ces délices du bésigue, sans femmes ! - et Mme Martin trouvera un autre amant, plus passionné. Labiche et Augier ont donc inventé une intrigue qui prend le vaudeville à rebrousse-poil les hommes se sentent mieux ensemble que dans des aventures torrides avec les femmes de leurs amis ! On peut y voir de l'homosexualité et les commentateurs de la pièce, dans diverses analyses et dans le programme remis aux spectateurs de l'Odéon, ne s'en privent pas. Mais ce parfum gay est bien mince ! Les auteurs confrontent plutôt le goût du confort et des habitudes à la fatigue et aux tracas des adultères commis dans l'angoisse et la précipitation ! Les héros du Prix Martin préfèrent leur petite vie à la vie folle. C'est dans cet esprit que le grand metteur en scène allemand Peter Stein a monté cette pièce typiquement française. Il n'a pas dérapé sur le verglas de cette promenade dans les Alpes. Sans doute parce qu'il a conçu son spectacle comme un hommage à Paris et à une certaine tradition de l'illustration française. L'excellent duo de Jacques Weber et Laurent Stocker L'espace est vaste et épuré, mais photos et gravures cadrent les lieux où galope la pièce. D'abord Paris et sa tour Eiffel. Puis les images des Alpes telles qu'on les voit dans les eaux-fortes du XIXe siècle. Tout est d'époque, tout fait époque. Les personnages ne sont pas transposés dans un autre temps, mais sont bien de la IIIe République. À commencer par Martin joué par Jacques Weber, le ventre gonflé jusqu'à l'obésité, les cheveux en bataille, l'accoutrement solennel Weber joue comique, mais au cordeau. Quelle précision dans l'énormité ! L'amant Agénor, c'est Laurent Stocker qu'on connaît à la Comédie-Française comme un jeune lutin blond ayant la vivacité d'un Figaro - rôle dans lequel il excella. Ici, il est vieilli, ridé, comme réduit, et il est extraordinaire dans l'expression de la mesquinerie et de la pusillanimité. La mise en scène s'amuse sans cesse à opposer ces deux silhouettes le colosse vaniteux et l'enfant vieilli. Leur contraste est touchant et drôle, dans le cadre bourgeois comme dans les errances des personnages dans la nature. Parallèlement aux deux ténors, Jean-Damien Barbin, en domestique hagard et pourtant attentif à tout, Christine Citti, en épouse infidèle, Pedro Casablanc, en Sud-Américain d'opérette, Manon Combes, en serveuse helvétique, assurent les deuxièmes rôles avec efficacité, puisqu'ils savent se détacher du groupe pour composer une partition personnelle, puis réintégrer la démarche collective. Sans doute le spectacle pourrait-il aller un peu plus vite, du moins avoir quelques coups d'accélérateur. Mais Peter Stein semble prendre le temps d'admirer une drôlerie qui n'est pas exactement dans sa culture. Il est si fou de cette blague qui dit tant de choses sans prendre la pose qu'il la ralentit pour avoir le temps de la contempler, de la déguster. On sent le metteur en scène se confier à lui-même tous les quarts d'heure "Mais comme c'est drôle !" Ce qui est un peu gênant pour le rythme qui s'épaissit. Mais c'est un péché mineur. Car le spectateur, aussi, se dit tout le temps "Mais comme c'est drôle !" Le Prix Martin d'Eugène Labiche et Émile Augier, mise en scène de Peter Stein. Odéon-Théâtre de l'Europe, place de l'Odéon, tél. 01 44 85 40 40, jusqu'au 8 mai. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Le mari, la femme, l'amant et les jeux de cartes Soyez le premier à réagir Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
Lafemme, le mari et l'amant. Paul De Kock (0 avis) Donner votre avis. Parution le 31/03/2016. Ajouter à une liste . Livre numérique. 4,49 € Téléchargement immédiat Formats : ePub + Mobi/Kindle Avec protection DRM (Adobe DRM)
Publié le 13/04/2007 à 0600, Mis à jour le 15/10/2007 à 0144 Jean-Louis Barrault, dans ses Souvenirs pour demain, a superbement résumé Partage de midi A cette splendide femelle inassouvie et déplantée, à ce mari complaisant, à cet aventurier qui fait l'artic... Jean-Louis Barrault, dans ses Souvenirs pour demain, a superbement résumé Partage de midi A cette splendide femelle inassouvie et déplantée, à ce mari complaisant, à cet aventurier qui fait l'article, à ce petit curé rejeté et tout sec dans son avarice et son égoïsme spirituel, il faut ajouter Dieu.» On ne peut pas plus insolemment, on ne peut pas mieux désacraliser l'oeuvre de Claudel. C'est assez savoureux, venant sous la plume d'un des hommes de théâtre qui ont le mieux compris et le mieux servi l' se fait-il que ce médiocre fait divers amoureux ait produit ce chef-d'oeuvre extravagant ? Il n'y a pas de mystère, ou plutôt il y en a un cela s'appelle la grâce. Plus le génie. Cela ne fait peut-être qu'un. La grâce de Dieu ? De fait, Dieu est le héros de Partage. Si l'on n'est pas croyant, on peut être agacé par la pièce. On n'en reste pas moins fasciné par sa puissance verbale et par sa force théâtrale. Et troublé par ce qu'elle exprime de sublime, une transcendance qui n'appartient pas forcément au divin. Il y a des marxistes comme Bernard Sobel qui sont attirés par Claudel et qui le ressentent avec une intuition très juste. Le combat entre la chair et l'esprit, fût-il un thème supérieur, n'en relève-t-il pas moins du domaine commun ?Visiblement, Yves Beaunesne, metteur en scène de grande qualité et qui sait lire les textes, est à l'aise dans les grands questionnements claudéliens. Il nous en administre la preuve à travers le travail qu'il nous offre aujourd'hui à la Comédie-Française et qui nous a beaucoup intéressés. Il y a quelque chose de didactique dans sa mise en scène. On a le sentiment qu'il veut absolument nous faire comprendre ce qui se passe, comme si cela n'était pas clair. Alors, il appuie, il souligne, il tranche. Presque jusqu'à la caricature. Il n'y a pas tout à fait assez d'ambiguïté chez les protagonistes du drame. C'est surtout vrai de Mesa. Eric Ruf joue avec une fièvre superbe, mais est-ce qu'il ne manque pas un peu de chair ? Et Ysé, est-ce qu'elle n'est pas un peu trop femelle déplantée», comme dit Barrault ? Cela dit, quel talent ! Marina Hands est absolument éblouissante. Un tourbillon de grâce, d'intelligence, d'élégance, de beauté. Une séduction irrésistible. Une diction sublime. Un soleil. Mais moins de mystère que chez sa mère, Ludmila Mikaël, il y a trente ans, dans la mise en scène de Vitez sur le même plateau. Quant à Hervé Pierre, il fait des débuts convaincants au Français dans le rôle d' tonalité retenue par Beaunesne est plus sombre que chez Vitez. On ne le disputera pas là-dessus. Claudel autorise tous les choix. La condition est que l'âme soit présente. Elle l'est de midi De Paul Claudel. Mise en scène d'Yves Beaunesne. Avec Eric Ruf, Marina Hands, Christian Gonon, Hervé Pierre. Théâtre de la Comédie-Française-Salle Richelieu
LeMari, La Femme, L'amant se produira à Paris du 14 janv. au 8 mai 2022, réservez vos places avec le plan de salle interactif, avis et video sur panier : 0.00 €
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Avoirun amant pour le frisson. Au-delà de la séduction et du sexe, l'amant apporte à la femme un frisson qui pimente son quotidien. La rencontre est interdite, elle doit rester secrète
Imprimer Pages [1] En bas Sujet La femme, le mari, l'amant et la maitresse ^^ notion de géométrie Lu 653 fois Un jour, il y a toujours un jour , je devais être marié, ou peut-être célibataire, elle s'en est reparti, alors j'ai écris ça. Pour être complètement sincère, je relisais Guitry et j'adorais les Rita Mitsouko . Les histoires d'amour, ...Quand on parle de triangle moi je parle de carréEt non de ce qu'on nommeLe triangle amoureuxEnsuite, suivez moi bien, pas la forme du litQuoique, dans tous les casça peut finir femme à un amant, qui peut être mariéL'homme qui a une maitresse, elle peut être mariéeMais ou tout se complique, c'est quand tous sont mariésLa quadrature du cercle, ou plutôt du triangleMaitresse c'est pas joli, on dirait un reprocheLe mec favorisé, on le nomme amantC'est complètement sexisteOn va changer les termesL'amant a une amanteAnciennement la maitresseEt alors il se sert ?L'amante a un amantLui ça n'a pas changéEt alors elle s'amuse ?Si un célibataire à droit à une amanteA t'il le droit d'aimer ?Et si elle est toute seuleEn a t'elle le droit ?ça devient compliquéS'ils sont seuls a s'aimerMais là tout devient la vie n'est pas simpleL'un est toujours mariéLa triangle, le carréJe crois qu'on tourne en rondVa pour la ligne droite L'amant aime une amanteMais là je parle d'amourLa ligne droite se briseMais c'est une autre histoireTout aussi compliquée. Modifié 21 juillet 2021 à 171521 par frenchwine » IP archivée Bonjour. L'idée de départ était excellente mais, après un bon départ, tu n'as que survolé ce que tu souhaitais exprimer. Dommage. Réfléchis un brin et je pense que tu peux rédiger un meilleur texte. Sinon, j'ai bien aimé. À + IP archivée Merci pour ton texte avec des "jeux de mots" je ne suis pas sur du terme. Tu répètes certain termes pour donner une dynamique a ton je ne suis pas d'accord avec cette phrase "Si un célibataire à droit à une amanteA t'il le droit d'aimer ?"Un célibataire ne peut avoir une amante, il a juste une compagne, qui elle peut être il est célibataire, sa "maitresse", est juste sa je crois. IP archivée Bonjour. L'idée de départ était excellente mais, après un bon départ, tu n'as que survolé ce que tu souhaitais exprimer. Dommage. Réfléchis un brin et je pense que tu peux rédiger un meilleur texte. Sinon, j'ai bien aimé. À +tu sais que je suis tout à fait d'accord le seul souci, hormis ma flemme le jet ou plutôt le squelette est du brut IP archivée Merci pour ton texte avec des "jeux de mots" je ne suis pas sur du terme. Tu répètes certain termes pour donner une dynamique a ton je ne suis pas d'accord avec cette phrase "Si un célibataire à droit à une amanteA t'il le droit d'aimer ?"Un célibataire ne peut avoir une amante, il a juste une compagne, qui elle peut être il est célibataire, sa "maitresse", est juste sa je crois. une compagne est alors une chose établie ce squelette, bien sur incomplet, me faisait réfléchir sur certaines pièces de Guitry qui a encensé le triangle j'ai voulu glisser maladroitement sur la ligne droite donc copine et copain avec un sentiment IP archivée Bonjour Frenchwine,J'aime bien cette idée de géométrie pour parler des relations. J'aime bien le ton de ton texte aussi. Je pense comme Jonathan que tu as une super base pour faire quelque chose de plus étoffé. Je ne connais pas les pièces de Guitry mais il me semble que le triangle est aussi un symbole du sexe féminin. Je m'attendais à y trouver une allusion. Petite chose, je ne comprends pas le mot "ensuite" à la 4ème ligne. Si jamais tu poursuis le travail sur ce texte, je suivrai avec plaisir ses évolutions ! Merci. IP archivée Bonjour Frenchwine,J'aime bien cette idée de géométrie pour parler des relations. J'aime bien le ton de ton texte aussi. Je pense comme Jonathan que tu as une super base pour faire quelque chose de plus étoffé. Je ne connais pas les pièces de Guitry mais il me semble que le triangle est aussi un symbole du sexe féminin. Je m'attendais à y trouver une allusion. Petite chose, je ne comprends pas le mot "ensuite" à la 4ème ligne. Si jamais tu poursuis le travail sur ce texte, je suivrai avec plaisir ses évolutions ! et merci d'avoir pris le temps Le " ensuite", mot malpropre sans doute, voulait reprendre le rectangle du lit Tu as raison pour le triangle, mais je n'ai pas voulu prendre ce faisait parti des auteurs, il y en a d'autres bien sûr, a toujours encensé le triangle amoureux et ses conséquences, surtout en forme de vaudeville. IP archivée Merci pour ton texte avec des "jeux de mots" je ne suis pas sur du terme. Tu répètes certain termes pour donner une dynamique a ton je ne suis pas d'accord avec cette phrase "Si un célibataire à droit à une amanteA t'il le droit d'aimer ?"Un célibataire ne peut avoir une amante, il a juste une compagne, qui elle peut être il est célibataire, sa "maitresse", est juste sa je crois. une compagne est alors une chose établie ce squelette, bien sur incomplet, me faisait réfléchir sur certaines pièces de Guitry qui a encensé le triangle j'ai voulu glisser maladroitement sur la ligne droite donc copine et copain avec un sentimentJe me suis mal expliquée. Je voulais dire que si le personnage a une "maitresse", c'est qu'il n'est pas célibataire. Si il est célibataire, il est tout IP archivée Merci pour ton texte avec des "jeux de mots" je ne suis pas sur du terme. Tu répètes certain termes pour donner une dynamique a ton je ne suis pas d'accord avec cette phrase "Si un célibataire à droit à une amanteA t'il le droit d'aimer ?"Un célibataire ne peut avoir une amante, il a juste une compagne, qui elle peut être il est célibataire, sa "maitresse", est juste sa je crois. une compagne est alors une chose établie ce squelette, bien sur incomplet, me faisait réfléchir sur certaines pièces de Guitry qui a encensé le triangle j'ai voulu glisser maladroitement sur la ligne droite donc copine et copain avec un sentimentJe me suis mal expliquée. Je voulais dire que si le personnage a une "maitresse", c'est qu'il n'est pas célibataire. Si il est célibataire, il est tout comprends ce que tu veux dire d'une je voulais tordre le coup a l'idée de maitresse, amante ou bien amant, copine serait plutôt actuel c'est pour ça que je me réfère à Guitry et au langage de l'époque compagne fait officiel, mais si elle est mariée tout doit être caché d’où l'idée, célibataire est un état arbitraire et selon les rencontres mais c'est une autre histoire, je retiens néanmoins ta remarque. IP archivée Imprimer Pages [1] En haut Écrivez-nous Ou retrouvez-nous sur les réseaux sociaux Les textes postés sur le forum sont publiés sous licence Creative Commons BY-NC-ND. Merci de la respecter
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Lamant Le mari Le passeur à vu la femme en danger deux fois et n'a pas voulu l'aider (pense qu'au frik) L'ami qui malgré les explications n'a rien voulu faire. La jeune femme trompe son mari et n'explique rien a l amant. L'amant qui est pas vraiment résponsable vu qu'il n avait pas d explication, mais qui est radin. Le mari qui n'a rien fait, elle aurait pu discuter avec lui avant, si
depetits groupes et leur demander de classer les 6 personnages (la femme, le mari, l'amant, le fou, le passeur, l'ami) par ordre de responsabilité décroissante dans la mort de la jeune femme. Demander aux groupes de dire qui, d’après eux, est le plus responsable / le moins responsable et leur demander d’argumenter, de débattre.
nPn8Xf. 315 20 340 67 254 132 159 484 205
le mari la femme et l amant